#j'ai pas reçu mon cadeau moi je suis triste...
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J'EN ÉTAIS SUR QUE C'ÉTAIT TOI MON SECRET SANTA!!! En tout cas merci de m'avoir accompagné dans ce mois de décembre tu étais un super secret Santa et j'ai méga hâte de lire ce que t'as écris sur les deux pepette des que j'ai le temps dans la journée soit sur que je te laisserais un jolie commenraire!! Joyeux Noël!! 💖💖
HEY !
Je me doutais que tu t'en doutais haha
C'était trop trop cool d'être ton Secret Santa et j'ai kiffé écrire ton cadeau, j'espère que tu l'aimeras autant que j'ai aimé l'écrire 💕💕
Et zéro pression, tu lis ça quand tu as le temps et l'envie 😘
Joyeux Noël 🎄🎅
#ssk22#secret santa kaamelott 2022#ask#superiorkenshi#j'ai pas reçu mon cadeau moi je suis triste...
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Témoignage de Tanjona RAJEMIARINALISOA (Paris, France)
Il m'a guéri et libéré par son amour
C'est une joie pour moi de témoigner de ce que Dieu a fait dans ma vie à travers Jesus- Christ; de lui donner l'honneur et la reconnaissance de mon cœur à travers mon histoire.
⦁ - Il voit et connaît tout
J'ai été élevée dans une famille croyant en Dieu et dès mon jeune âge, j'ai fréquenté l'église et on m'a enseigné la Bible. Grandissant dans la connaissance de la Parole de Dieu, j'ai commencé à connaître un peu Dieu et à aimer Sa parole. A 18 ans, désireuse à la fois de vivre selon ce que Dieu dit et ballotée par le désir de faire et de vivre tout ce qui attire dans cet âge tels que sortie en boîte, compétition, garçons, sexe, plaisirs, l'apparence, …. une vie du genre "je fais ce que je veux". Devant mes proches, je m'étais cachée sous une vie pratique à l'église, d'être un enfant sage et une bonne étudiante.
Je vivais ainsi et en quête de remplir un vide en moi par une relation passionnée avec un jeune homme de mon âge. Cette quête de liberté était au contraire devenue comme un esclavage car malgré que je prenais plaisir à tout ce que je faisais, la joie que je ressentais était passagère et s'alternait par des nuits de tristesse et même de larmes. J'avais aussi un mal être, je ne m'acceptais pas réellement comme moi-même et j'ai essayé de m'adapter, de changer pour plaire aux autres et de m'oublier. Beaucoup de compromis comme prix… mais malgré tout, j'avais soif de Dieu, de réponses et des questions comme "où je vais passer après la mort me trottait le cœur ?".
Loin de mon pays, je fus confrontée à des temps difficiles; je me voyais au fond du gouffre, tout était noir et semblait sans espoir. Etant seule et désespérée face à cette situation, Dieu était venu à ma rencontre dans un parc me montrant toute ma vie en détails depuis mon enfance…; Il m'a montré qu'Il me voit et connaît toute ma vie. Face à la vérité, je me suis sentie triste, sale et indigne de Lui qui est pur, juste et Saint. Par pur orgueil, je me voyais être quelqu'un de bien.
Face à face avec Dieu, ce fut un moment décisif de ma vie. Rentrée chez moi, j'ai demandé humblement pardon à Dieu pour mes fautes. J'ai crié et supplié dans les larmes, ce Dieu Sauveur que j'entendais toujours parlé et prié à l'église, pour me sauver de moi-même car je reconnaissais qu'au fond de moi je ne voulais plus vivre cette vie. Mais je n'avais pas la force d'en être libérée par moi-même.
Après cela Dieu m'a montré, que malgré ce que j'ai fait et étais avant, "Il m'aime" et Il m'a remplie d'une grande paix. Je n'arrivais pas à comprendre comment Lui pouvait m'aimer, me pardonner et m'accepter alors que j'ai choisi de vivre indépendamment de Lui et de l’ignorer.
Touchée par cet amour et par la nature de Dieu, je n'ai pu que lui répondre par mon amour et lui donner toute ma vie. Pour moi, c'est seulement un nouveau départ et un cadeau que je n'ai point mérité face à ma vie de débauche. De là, j'ai commencé à voir la lumière dans ma vie : Dieu m'a libéré de la culpabilité que je portais en moi après un avortement dans le passé (où Il m'a épargné de la mort, j'étais libérée du mensonge, de l'emprise du sexe et de la pornographie, et aussi de la séduction de plaire à un homme. J'ai corrigé mes attitudes face au sexe avant le mariage. La rébellion et l'indépendance que je me suis créée comme coquille de survie se transforment de jour en jour en obéissance, douceur et confiance grâce à Dieu seul.
⦁ - Il rebâtit les ruines… place à des choses nouvelles
Depuis ce jour, non seulement j'ai changé intérieurement ; ma vie, ma façon de penser et de voir la vie ont complètement changé. Dieu n'est plus loin pour moi mais est devenu proche comme un Père. Je lui parle et je l'écoute. J'ai reçu des trésors impayables comme l'amour, le pardon de mes fautes, la paix et la joie qui ne dépendent pas de ce que je vis, la dignité et l'assurance. Je reconnais que même après cette merveilleuse rencontre et engagement de relation, Dieu continue à me changer, enlève l'orgueil et l'arrogance, et aussi l'indépendance vis à vis de Lui…
Très jeune, j'avais un cœur ouvert, le désir d'aimer et d'être aimé. Je recherchais l'amour, la sécurité et la protection dans mes relations. Le fait d'avoir recherché à combler ce vide ne m'a jamais satisfait et une chose a entrainé une autre…Dieu m'a montré que Lui seul peut le combler. J'étais passé par des moments de manque d'affection, de rejet, de trahison, de déception, de confusion, et même de ressentiment,…
J'ai du abandonner une relation amoureuse de 8 ans. Ce n'était pas toujours facile et mon cœur a été brisé, et pendant ces temps j'avais l'impression d'avoir tout perdu comme sans plus de raison de vivre. Dieu m'a appris le pardon, l'humilité et aller de l'avant et qu'avec Lui il y a toujours de l'espoir et des plans magnifiques. J'étais passé par des temps de guérison intérieure dans mes émotions, dans mes blessures, et mes erreurs aussi.
Dieu relève ma vie, il renouvelle de jour en jour mes pensées sur son cœur de Père et sur qui je suis indépendamment de qui j'étais, ce que j'ai fait avant, de ce qu'on m'a dit ou ce qu'on m'a fait. Dieu est grand et puissant, Il sait faire ce qu'aucune chose ou aucune personne ne sait faire tant qu'on lui ouvre le cœur… Moi personnellement, je lui ai donné cette place à travers la lecture et la méditation de Sa parole, la prière et le chant pour être en relation avec Lui; passer du temps avec Lui comme avec quelqu'un qu'on aime.
J'apprends tous les jours avec Lui car Il est comme un Père qui protège. Il enseigne, console, corrige et conduit dans le bon chemin de ma destinée. Récemment, Dieu m'a accordé un cadeau précieux, celui qui va être mon mari, et on projette de nous marier cette année. Dieu prend soin de chaque détail de ma vie. Aucune situation n'est plus grande que Dieu et les larmes que nous pouvons verser, Dieu le change en coupe de joie !!! La clé est de lui faire confiance. Je viens de loin mais je crois que Dieu a fait un travail miraculeux.
➡ UN PAS VERS LUI…
Bref, j'étais dans le noir et Dieu m'a appelé vers la lumière; je croyais n'avoir plus de sens dans ma vie et passée à côté de la mort mais Dieu m'a donné sa vie et de l'espoir. Je me suis approchée de Dieu et il s'est approché de moi et cela continue…Voilà mon histoire avec Dieu, j'espère que vous puissiez également découvrir Dieu dans votre vie à travers une relation personnelle; et que vous puissiez prendre courage dans chaque circonstance de votre vie…
"Car le Fils de l'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu" Luc 19/10 ; "Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie." Ephésiens 2/8-9
Tanjona
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Ma très chère madame A,
Vous n'avez pas répondu à ma lettre (de papier) que je vous ai envoyée il y a environ une semaine. Je ne sais pas ce que je dois en déduire. Que vous n'avez pas reçu ma lettre ? Que vous n'êtes pas chez vous ? Que vous ne voulez plus m'écrire ? Que je vous agace ? Que vous souhaitez mettre un terme à notre échange ?
J'ai tellement peur que vous m'abandonniez. Que vous me laissiez tomber. Comme mon ancienne meilleure amie et ancienne harceleuse. Je crains que vous n'ayez pas d'affection pour moi. Que vous acceptiez de me parler par gentillesse, pour ne pas me briser, ou par pitié. Ou parce que je ne vous laisse pas le choix.
Alors je me raccroche à peu de choses.
À votre main sur mon épaule.
À votre accolade.
À votre câlin.
À vos mots
"tu es le rayon de soleil de ma journée", "ta présence est un cadeau" (ce n'est peut-être pas tout à fait exact, je ne me souviens plus mot pour mot)
Vous me manquez. Vos gestes, vos paroles me manquent. Nos discussions me manquent. Notre échange épistolaire me manquent. Votre présence me manque.
Je vous dois la vérité. Je ne suis pas certaine de ne pas être amoureuse de vous. L'intensité de mes sentiments à votre égard me fait douter. Je n'ai jamais cessé de me poser des questions sur ce que je ressens. J'ai beau essayé, je n'y parviens pas.
J'ai besoin de comprendre et pour cela, je n'ai trouvé qu'une seule solution. Il faut que je me fasse hypnotiser. Grâce à cela, mon inconscient pourrait apporter les réponses tant attendues à mes questionnements. Enfin, je l'espère.
Je n'aime pas l'idée que quelqu'un m'hypnotise. En fait, j'ai extrêmement peur de perdre le contrôle d'une partie de moi-même. Je pourrais dire des choses qui doivent rester secrètes et ne pas me souvenir de mes paroles. Il faudra que je fasse confiance à l'hypnotiseuse (ou l'hypnotiseur), ce qui peut être compliqué.
Mais j'ai besoin de connaître la nature de mes sentiments envers vous. De comprendre pourquoi vous, et pas un/une autre prof. De savoir la raison pour laquelle j'ai ce besoin vital de câlins, et plus particulièrement de vos câlins. De calmer mon stress, mes angoisses. De ne plus craindre d'être abandonnée par les personnes que j'aime.
Je souhaite de tout mon cœur que cela me permette de me sentir bien. D'arrêter ces questionnements sans fin vis-à-vis de vous. D'être enfin positive et de voir la vie comme une chance.
J, triste et perdue
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“And like any artist with no art form, she became dangerous”
Les lundis arrivent et se ressemblent, avec leurs obligations qui m'empêchent de passer par ici. Et puis, là, comme ça, trois coups de foudre (et même un quatrième dont je parlerai plus tard) sont venus me réveiller de la mollesse de janvier. Nous voilà repartis !
Sabrina de Nick Drnaso
J'ai reçu Sabrina comme cadeau d'anniversaire et c'est le premier livre que j'ai ouvert en rentrant de Bretagne après les vacances de Noël. Était-ce la meilleure idée d'ouvrir ce roman graphique déchirant au moment de l'année où je suis le plus vulnérable ? Et bien oui. Je ne suis pas du genre à écouter des chansons joyeuses quand je suis triste pour me remonter le moral, quand j'ai un coup de mou je prends mes playlists les plus déprimantes et je me roule dedans. Sabrina est donc arrivée au moment parfait où le monde me paraissait absurde, où je me posais beaucoup de questions et où all in all, j'étais prête à me prendre une claque de cette ampleur.
Je ne crois pas que j'ai lu, à l'heure actuelle, d'autres œuvres qui touche d’aussi près à la société dans laquelle nous évoluons. C'est fou le niveau de détail avec lequel Nick Drnaso arrive à parler de sujets très actuels comme la manipulation, la perte de repères, la porosité aux fake news, l'influence d'Internet dans nos vies, la manière dont nous nous essayons de trouver notre place au milieu de cette masse d'information qui nous arrive en permanence. Les violences sexistes dans leur horreur la plus pure et leur banalisation abjecte sont aussi l'une des trames du récit. En partant d'une situation de deuil, Sabrina dresse vraiment le portrait de nos société occidentales avec un trait faussement simple qui reflète l'apathie forcée de ses personnages. Un "great American novel" 2.0 en quelque sorte.
La bande dessinée s'appelle Sabrina, mais cette dernière n'est présente qu'au tout début du récit. Il s'agit plutôt de raconter sa disparition du jour au lendemain — sans trop vouloir en révéler (car le choc fait partie inhérente de la lecture). Drnaso s'intéresse surtout au personnage du petit ami de Sabrina, et de la manière dont il va se laisser happer par toutes sortes de théories du complot autour de sa compagne. Comment faire son deuil quand l’événement que vous essayez de digérer est jeté sur la place publique ? La violence est à la fois criante et terriblement sourde. Il y a le crime, certes, mais il y a aussi toute cette violence individuelle prête à exploser et presque plus inquiétante encore : la violence du présentateur radio qui élabore des théories dangereuses, la violence du militaire qui cache des armes dans son placard et refoule les sentiments liés à sa séparation, la violence d'une masculinité toxique qui trouve des échos terrifiants sur Internet, et surtout la violence absurde et anonymisée des mails que la sœur de Sabrina reçoit.
Si vous voulez mettre des mots et des images sur les sentiments compliqués que vous inspirent le monde qui nous entoure, et bien achetez Sabrina, ou trouvez-vous des amis trop cool qui vous feront ce très beau cadeau.
La version française est disponible aux éditions Presque lune.
The Bad and the Beautiful de Vincente Minnelli
En fan de comédie musicale, j'ai bien évidemment une passion pour Vincente Minnelli. Mais mon amour pour son cinéma dépasse ses films musicaux, et j'ai été bouleversée par le passé notamment par Some Came Running, à mes yeux l’une de ses plus œuvres. Si vous ne l'avez pas vu, je ne peux que le conseiller, j'imagine que vous serez comme moi très émus par Shirley MacLaine et par la manière dont Minnelli traite les esseulés, les addicts et les marginaux avec des nuances infinies.
Toujours est-il que j'ai vu The Bad and the Beautiful et qu'il est venu confirmer que la carrière de Minnelli a pris des détours passionnants. Le film raconte l'histoire de Jonathan Shields (le génial Kirk Douglas), un producteur sans scrupules qui convoque par l'intermédiaire de l'un de ses collaborateurs un réalisateur, une actrice et un écrivain/scénariste pour leur proposer un projet. Le film est découpé en trois sections. Chacune revient sur l'histoire personnelle et tragique de ces personnage avec Shields. À chaque fois ils ont été poussés, manipulés et séduits par le producteur avant d'être délaissés et même rejetés. L'ami commun, qui joue un peu le rôle de l'avocat du diable, pose à chaque fois la même question à la fin du récit de leurs blessures : d'accord, Shields vous a brisés. Mais cet événement traumatisant n'a-t-il pas lancé votre carrière d'actrice ? N'a-t-il pas débouché sur un prix Pulitzer ? N'a-t-il pas ouvert pour vous la voie vers un Oscar ?
C'est une question fascinante que celle-ci : jusqu'où peut-on justifier les artistes ? À l'heure où l'on nous assène qu'il faut séparer l'œuvre de l'Artiste (masculin de préférence), le film a vraiment une portée particulière. Le cinéma mérite-t-il vraiment que l'on brise des vies, voire que l'on tue ? Le segment qui m'a le plus touchée, pour de nombreuses raisons, est celui de Lana Turner. Difficile de ne pas voir dans ce personnage un reflet de Judy Garland, dont Minnelli vient de divorcer. (et c’est d’autant plus intéressant que Garland avait un fort complexe d’infériorité face à la beauté de Turner) Affaiblie, noyée dans l'alcool, attachée à un père disparu... Peut-être que ce reflet autobiographique donne une teinte mélancolique particulière à cette séquence pleine de nuances et de plans sublimes sur Turner. Certes, le film donne dans les clichés, notamment en mettant en scène une rivalité féminine extrêmement exagérée, mais il questionne aussi la manière brutale dont sont traitées les actrices, vues comme des objets, prises et rejetées dans un même mouvement. Dans une scène particulièrement dure, une assemblée d'hommes jugent le bout d'essai de l'actrice en herbe avec une violence intolérable. Voilà le male gaze dans toute sa splendeur.
Il me semble que The Bad and the Beautiful questionne aussi le mythe du génie tyrannique, qui traverse l'histoire de l'art et du cinéma. Cette figure masculine à qui, a posteriori, on pardonnera tout. Le mythe du pervers narcissique tellement absorbé par la beauté qu'il détruit tout autour de lui. Est-ce que Minnelli le détruit une bonne fois pour toutes ? Pas vraiment. La fin du film laisse le spectateur sur une question ouverte. Faut-il vendre son âme au diable pour obtenir la reconnaissance ? Pour se lover dans l'ombre d'un "génie" ? À chacun de décider.
Glimpses de Bootchy Temple
J’ai aussi reçu en cadeau ce très beau disque de Bootchy Temple, qui m’accompagne en ce froid hivernal. Ce disque est tout simplement l’alignement de tout ce que j’aime, de la pop nostalgique et mélancolique avec ce juste équilibre entre fragilité DIY et mélodies affirmées. D’aucuns l’ont comparé au meilleur groupe de la terre (Yo La Tengo), et je trouve qu’ils n’avaient pas tort, il y a une sensibilité assez similaire. Il n’y a peut-être pas plus grand compliment à mes yeux, je vous laisse écouter ce disque et quand vous marcherez dans la rue avec Glimpses dans vos oreilles et que votre vie sera un peu plus belle, vous me remercierez peut-être.
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La légende du souffle sauvage
J'ai le sommeil profond, j'me suis réveillé 100 ans plus tard Tellement muet, qu'on aurait dit que j'avais reçu un mauvais sort À coups de branche d'arbre, je pète la gueule aux gros porcs Et je bouffe des pommes à l'infini pour éviter ma mort
Je ne portais que des sous-vêtements J'me suis fait pitché dans la nature, littéralement Faut pas tomber de haut, ça pourrait faire mal C'est pourquoi le viel homme m'a donné la paravoile
Sanctuaire après sanctuaire Y'a gros du stock à faire Avec quatre emblèmes, je peux prier Pour plus d'endurance ou plus de vitalité
Fuck la pluie, moi je veux escalader des montagnes Sinon, je tourne en rond et je stagne Pour attendre, voilà un feu de camp Ou pour cuisiner des petits plats de temps en temps
La faune est là La chasse est une nécessité Chaque animal m'aidera à subsister Je peux même monter un ours, et de la forêt, être le roi
Il y a des brochettes de viande pour me rendre le ventre plein Des remèdes afin de survivre à la température Jusqu'au moment où je trouverai la bonne armure Cré-moé, y'en a de cachés dans tout les coins
Calme-toi mon p'tit cheval J'ai besoin de toi pour aller plus vite Je te nommerai "Chantal" Et t'aura juste à suivre la piste
Cette monture à quatres pattes n'est pas immortelle Mais ne t'en fait pas, il y a un endroit pour te remettre en selle À coups de 1000 rubis C'est une somme modique pour revenir à la vie
Partout sur les terres, les marchants se promènent Mon préféré restera, inconditionnellement, le maître des onomatopées Ce personnage est en recherche de scarabées Malheureusement, sa transaction n'en vaut pas vraiment la peine
Les Gardiens me regardent de loin Une chance que je peux tirer 3 flèches d'un coup Il ne me reste plus qu'à avoir un bon visou Ou il faudra rebrousser chemin
J'ai vendu toutes mes écailles de dragon Mes pierres précieuses, j'en avais une collection Ma bourse est pleine, juste en dessous d'un million Mais je garderai mon équipement, m'en débarasser est hors de question
Aller n'importe où, j'en suis capable Dans l'herbe, la neige ou le sable Il suffit de me téléporter à l'aide ma tablette quasi-magique Je ne suis pas du genre à arriver via le portique
"Nom d'une feuille, tu m'as trouvé" Le nombre de fois que cette phrase m'a été dite est très élevé Maintenant, je me noie dans les noix Puisque j'ai agrandi ma sacoche un maximum de fois
Prête-moi ton bouclier, je vais aller surfer Aller trouver toutes les grandes fées Ainsi, je pourrai mieux résister Aux attaques de ces ennemis argentés
Par quatre fois, j'irai dans les créatures divines Me battre contre des ombres maléfiques Bien sûr que l'épée légendaire m'aidera de façon épique Même si la peur me fait trembler des pieds jusqu'à l'échine
Ces donjons, me donneront des pouvoirs pour m'aider dans mon aventure Venant des Prodiges, je pourrai revenir à la vie Me protéger avec un bouclier, m'envoler si je suis pris Et finalement, faire un attaque électrique pour butter toutes ces petites enflures
Y'a pas de limite de bombes Effectivement, ça peut devenir l'hécatombe Prends le cadenas et paralyse tout ce qui bouge Deviens Magneto et déplace le métal sous l'infrarouge
Des photos, j'en ai prit Dans le laboratoire, elles avaient un prix Cette minuscule fille a modifié mon rectangle de pierre Cet objet a une apparence qui me semble vaguement familière
Avec dix fruits, j'peux faire le plein de ma moto J'ai traversé des épreuves et je l'ai reçu en cadeau Je préfère être kamikaze et, dans le vide faire un grand saut C'est triste, mais je pense délaisser Chantal bientôt
Au milieu du désert, il y a un village de femmes Pour y pénétrer, il faut cacher son charme C'est le seul endroit qui peux te louer un morse Attention entre les dunes, les serpents géants te soulèveront avec force
Au bas du volcan Y'a des gars bein ronds Ils piochent pour trouver du silex et des diamants La chaleur y est plus intense que du bouillon dans un chaudron
Au nord de là où les oiseaux ont leur nid J'ai trouvé l'exercice au vol pis affronté le record établi Ce sont des archers accomplis Faits de plumes, confortables sont leurs lits
Dans le cercle rouge, un point d'exclamation Enfin je peux aider un paysan à trouver ces poules J'va certainement pas me faire applaudir par la foule Si seulement j'aurais pu être méchant et lui foutre la tête dans une explosion
Je suis allé voler les voleurs et abattu leur patron Par vengeance, dans la fumée ils apparaîtront Après leur défaite, laissant derrière eux qu'une main de bananes Ces "voyageurs", sont plus risible que des rires en canne
Ramasse le bois qui traîne et les maisons pousserons comme des carottes Sur cette île du zéro Je te conseille, sur une base régulière, d'y faire ta trotte Puisque, des flèches explosives on en a jamais trop
Ma quête, c'est de trouver des missions J'ai mes 30 coeurs, mais encore 2 poumons Pas besoin de relais, j'ai du manger à profusion Ganon, pour moi c'était une simple attraction
Est-ce que je viens de t'éblouir avec mes pointes de lumière? Ou plutôt te faire chier un gros tas doré dans la forêt? Je veux la sérénité, donc pour cette princesse je suis prêt À cause que le journal intime de cette fille, je l'ai lu hier
Alors que demain est incertain Je serai là pour avoir ma part du butin Et défendre à quoi je tiens Mon nom est Link et je défenderai Hyrule jusqu'à devenir serein
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Lundi 22 février 2021
L'affaire des photos
La semaine commence relativement bien pour moi : je me suis réveillé assez tôt le matin, et j'étais d'excellente humeur, ce qui avait beaucoup à voir avec le fait que j'avais reçu un message de la Parisienne un peu plus tôt dans la matinée, message que je me suis empressé de lire très vite juste après que j'ai ouvert les yeux.
Lors de la nuit précédente, nous avions fait une cam, et j'avais adoré pouvoir la retrouver après plusieurs jours sans visioconférence. Et dire qu'il y a encore quelques semaines, l'idée de la voir en cam to cam m'angoissait, et que je redoutais même ce moment ! Je me rappelle que lors de notre première fois en cam, j'étais assez stressé et je ne cessais de penser « bon sang, ne dis pas de bêtises, ne te rend surtout pas ridicule », et nous voilà un mois plus tard et c'est moi qui lui réclame chaque soir une petite cam... Je suis parfaitement à l'aise avec elle, et je crois qu'elle s'en rend compte.
Ce soir elle m'a lu des choses qu'elle a écrite, et j'ai été réellement impressionné par son style. Le français n'est pas sa langue maternelle et pourtant elle écrit bien mieux que quiconque dans mon entourage, et encore, selon elle, elle écrit mieux en arabe !
C'est bien simple, après qu'elle m'ait lu ses textes, je n'avais qu'une envie c'était d'écrire moi même, comme si, inspiré par elle, ma plume allait s'en trouver, par un procédé magique d'émulation, améliorée : mais je ne suis pas dupe, ça n'arrivera pas. Ce n'est pas grave, au moins, elle m'a donné envie d'écrire, et ça c'est exaltant. Je prend vraiment un plaisir fou à écrire. L'autre soir j'ai terminé le texte d'une chanson. C'est un texte mineur, mais enfin, il est complet et je suis heureux de l'avoir terminé. Je pense qu'il faut que j'écrive encore et encore, et à force de textes nuls, je finirais par en pondre des pas mal, et puis, pourquoi pas, il faut bien rêver, des bons !
Lors de notre conversation, la Parisienne a laissé échapper une information : elle m'a acheté un livre chez un bouquiniste, livre qu'elle compte bientôt m'envoyer ! Il n'en fallu pas plus pour que je me sente heureux comme un roi : pensez donc, je vais recevoir du courrier de sa part, avec un cadeau, qui plus est ! Maintenant j'ai hâte de le recevoir. Quel veinard je suis ! Est ce que je la mérite vraiment ? Je ne sais pas, mais je vais tout faire pour.
Lundi dernier, je suis allé manger chez mon frère. Je lui avais fait une proposition la veille, « et si on mangeait ensemble chez toi à midi ? On commandera un Mcdo et je paierais ma part (je pense que cette partie de la phrase a dû faire mouche) ». Il a répondu le soir quelque chose du genre « pourquoi pas », ce qui correspond chez mon frère à son niveau le plus élevé d'enthousiasme. J'étais ravi, ça me ferait une sortie et puis aussi ce serait l'occasion de voir le petit Paul. Le lendemain, je suis arrivé chez mon frère littéralement pile à l'heure (je suis quelqu'un de très ponctuel) et nous avons mangé ensemble, et puis, comme prévu, j'ai payé ma part en lui faisait un virement de mon compte vers le sien. J'étais content d'avoir vu Paul, mignon comme tout et comme toujours. Je l'ai pris en photos, mais pas trop, parce que mon frère m'a dit « assez ! », il n'aime pas ça que je fasse trop de photos. A un moment, je suis allé m'installer au piano et le petit s'est mit à côté de moi sur son propre petit piano d'enfant, et nous avons joués. Le piano était, paraît-il, désaccordé, ce qui ne m'a pas perturbé pour autant et c'est avec un plaisir sans limites que je me suis lancé dans ma plus belle interprétation de The Entertainer, un fameux air ragtime que tout le monde connaît sans en avoir conscience (si, je vous jure, cherchez le donc sur youtube vous verrez !). Et puis j'ai finis par rentrer chez moi. Après quoi j'ai décidé d'accompagner ma mère qui allait voir la sienne (de mère). Je me suis dit « allez, ça fait au moins un an que tu n'as pas vu ta grand-mère, fais un effort ! » et c'est ainsi que j'ai fini par faire 50 minutes de marche (25 l'aller, 25 le retour). Lorsque nous sommes repartis chez nous, j'ai demandé à ma mère de me prendre en photo, puisque la lumière était belle et que je n'étais pas trop mal sapé, ça me ferait une jolie nouvelle photo de profil. Je n'imaginais pas que ça allait alimenter la colère de ce véritable tyran qu'est mon frère, qui, après avoir vu mes photos sur instagram, s'est mit à m'engueuler sur le mode « non mais qu'est ce qui te prend à publier autant de photos de toi comme ça, non mais là STOP, je vais arrêter de te suivre ! C'est fou, tu t'aimes beaucoup trop »... Ce fut les derniers messages qu'on a échangé ce jour là et ça fait aujourd'hui une semaine que l'on ne s'est plus adressé la parole. Il est vraiment con quand il s'y met. M'accuser de m'aimer trop, moi, l'homme le plus complexé de la galaxie ?! Quand aux fameuses photos de la discorde, elle m'ont valu plusieurs commentaires chaleureux de la part des filles, et ça, ça n'a pas de prix, et puis c'est toujours agréable pour mon pauvre ego qui en avait bien besoin.
Samedi prochain, avec Justine et Canel, nous avons prévu de nous retrouver pour aller faire une randonnée quelque part vers chez Justine. Elles sont toutes les deux amatrices de ce genre d'activité, alors on s'est dit qu'il fallait organiser ça, ça nous permettra de nous retrouver (les occasions de se retrouver se font rares depuis que les bars et les restaurants sont fermés, surtout qu'en plus il y a le couvre-feu à 18 heures). Alors voilà, j'ai plutôt hâte qu'on se fasse cette petite sortie. Ah, que je suis heureux d'avoir présenté Canel à Justine ! Elles s'entendent si bien !
Ma journée qui avait si bien commencé s'est trouvé quelque peu entaché par la triste nouvelle dont tout le monde parle à l'heure où j'écris ces lignes : les Daft Punk se séparent officiellement, après 28 ans d'activité. Ah, et moi qui attendais un nouvel album, ou de les voir en live ! Quelle déception... Les Daft Punk c'est un peu le groupe que j'écoutais souvent à la radio lorsque j'étais ado et que je peux réécouter aujourd'hui sans honte aucune. J'étais collégien lorsqu'ils ont débutés, à,l'époque, Around The World passait constamment à la radio. Et je me souviens de la claque que j'avais pris en découvrant leur second album Discovery, dont les singles avaient été diffusés dans mes oreilles via Max de Fun Radio (cherchez pas, si vous avez moins de 30 ans vous ne pouvez pas avoir connu cet animateur radio idole de ma jeunesse dont les émissions avaient un parfum délicieux d'irrévérence et d'impertinence). Ces morceaux que j'avais enregistré sur mon lecteur cassettes et que je me repassais en boucle. Un peu plus tard, mon frère s'était même offert l'album en cd. Et puis en 2013 j'avais été enchanté par leur dernier album, Random Access Memories, que je m'étais précipité à acheter chez Spliff, en vinyle, of course. Aujourd'hui, je considère cet album comme ce que les années 2010 nous ont donné de mieux à écouter. So long, les Daft Punk ! Au moment où j'écris ces ligne leur album se termine sur ma platine alors que j'achève ce texte. On est plutôt synchro, c'est cool !
Bande son : Random Access Memories, Daft Punk
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Japan plus S.e.e.k magazine 01.04.17
MC : Parlons des cadeaux des membres qui vous ont rendus heureux
Jonghyun : Key m'a acheté un cadeau.
Key : Ah oui, J'ai déjà acheté des cadeaux a deux membres
Onew : J'en ai reçu un !
Minho Soudainement je suis triste>
Key : c’est donnant donnant.
Onew et Jonghyun : (rire)
Onew : Si quelqu’un me demande de lui acheter un cadeau alors je le fait.
Key : A mon anniversaire, Jonghyun ma offert une parka et Onew une veste. Récemment j'ai acheté à Onew…
Onew : Un pull !
Key : Oui, je lui ai acheté un pull. J’ai demandé beaucoup de fois à Jonghyun ce qu'il voulait mais il ne me le dit jamais. Cette année j'anticipe.
Jonghyun: Je ne voulais rien de spécial a ce moment là, mais je sais qu’il m'achètera ce que je veux quand j’en aurais besoin.
Key: Yep
Onew : J'ai acheté un cadeau à Minho mais il ne l'a jamais utilisé :(
Jonghyun: Pourquoi?
Minho : Onew m’a acheté un portefeuille mais c’est une édition limité, il est trop beau pour être utilisé.
Key : Ne ment pas
Minho : Je ne ment pas !
Onew : La prochaine fois je t'en achète deux, un pour utiliser et un autre pour le garder
Taemin : Je suis heureux peu importe ce que je reçois. Key me fait toujours un cadeau pour mon anniversaire.
Key : Oui et je reçois également des cadeaux de Taemin. Il m'avait acheté un casque.
Taemin : Oui, en fait, je ne suis pas très bon pour choisir les cadeaux, mais je me sens heureux pour toi ! Les membre on célébrer mon anniversaire l'année passé, lorsque je dormais…
Minho: Notre jeux d’acteur est vraiment nul. Taemin à tous de suite compris.
Taemin : Mais j'étais heureux.
Onew : Taemin dormais encore
Taemin : Oui, ils ont ouvert ma porte avec la clef et il m'ont réveillé et mon dit « Joyeux anniversaire »
Jonghyun : On a fêter un anniversaire récemment
Key : Celui de Minho !
Jonghyun : Oui
Onew : On lui a fait une blague
Jonghyun : Nous avions préparé un gâteau avec du champagne et on a dit sérieusement à Minho qu'on avait besoins de parler de quelque chose d'important ensemble, mais il a réalisé tellement vite qu'il était entrain de rire en venant dans la pièce
Minho : Je n'étais pas 100% sur mais a ce moment, mais au moment ou j'ai vus le visage de taemin j'était sur a 100%
Taemin : Il ne venait pas, et je n'arrêtais pas de me demander pourquoi il ne venais pas, mais je l'ai croisé en chemin quand je suis parti le chercher
Les autres membre : (Rire)
Mc : Quel est le membre qui rendra le plus heureux sa copine ?
Jonghyun : Onew
Taemin : je dirais Onew aussi
Jonghyun : Il est gentil et sourit beaucoup, il est toujours entrain de sourire !
Onew : Oui c'est vrai… Je ferais tout pour la rendre heureuse
Jonghyun : Mais je me sens plus heureux quand nous sommes tous ensembles avec les membres, je pense que nous cinq pourront la rendre heureuse.
Mc : Qui est le membre le plus chanceuse ?
Jonghyun : Pas Taemin (ris)
Minho : Pas Taemin (ris)
Onew : C'est Minho et Key
Key : Si je veux quelque chose, ça va se réaliser du coup je pense être une personne très chanceuse. (ris)
Onew : Il y a une personne qui est très malchanceuse
Minho : Taemin !
Taemin: (sourire ironique)
Jonghyun : Par exemple, si nous sommes tous entrain de tenir un truc rien ne se passe mais si Taemin le prend il se case.
Taemin : J'ai des mains magique !
Mc : Ça serait une partie de plaisir si l’on pouvait s’entendre avec n'importe qui. Qui est le membre qui a l'habitude de parler avec n'importe qui ?
Taemin : Jonghyun !
Minho : Jonghyun !
Taemin : Que ça soit un homme ou une femme, Jonghyun peut rester prêt de cette personne pour la 1er fois qu'il se rencontre
Jonghyun : Je suis une personne extravertie
Taemin : Je suis une personne timide en public et très introvertie surtout avec les personnes que je rencontre pour la première fois
Jonghyun : Oui il l'est
Onew : Oui il l'est
MC : Qui obtient le plus facilement des énergies négative ?
Onew : Moi ! Je vais baisser les bras facilement
Jonghyun : Moi je crois que c'est moi, plutôt nous trois (en se désignent et en montrant Onew et Taemin)
Taemin : Nous somme plus passif, si je commets une erreur durant un concert, ça va beaucoup me préoccuper et je l’oublierais seulement le lendemain matin.
MC : Lequel choisiriez vous? Rendre des gens heureux ou qu'ils vous rendent heureux ?
Taemin: Ça serait mieux si c’était moi (lol)
Key: (Ris)
Jonghyun: Tu est vraiment Taemin!
Taemin: Mais vraiment, je serais un menteurs si je disais que je préférais les rendres heureux. (ris)
Jonghyun: Oh vraiment?
Key; Tu ne peux pas avoir ce type de pensé
Jonghyun: Tout le monde est différent
Onew : Ça dépend, du moment ou tu cuisine pour quelqu'un et que cette personne pense que ta cuisine est bonne tu te sens heureux non ?
Taemin : Ah oui je vois…
Key: Je veux rendre les gens heureux parce que je comprend la sentation des autres personnes quand il me traite ainsi. Donc je leurs donnerais des cadeaux avec beaucoup de reconnaissance.
MC : Si quelque chose d'heureux vous arrive, vous préféreriez le partager avec quelqu'un d'autre ou de le profiter seul ?
Onew : Je pense que je le dirais aux membres, mais sa dépend, cependant, que ce qu'il ce passe si je gagne le grand prix ?
Jonghyun : (Ris)
Onew : Même si je veux vraiment dire « oui ! » je pense que je ne le dirait pas.
Jonghyun : et que ce passe t'il si tu gagne 3 million de won ? (won monnais coréenne ça fait a peut prêt 2 500 euros)
Key : Je ne le dirais pas
Jonghyun : Un milliard de won ? (A peu prêt 83 900€ )
Key : Oui je le dirais
Onew : Je veux me vanter
Jonghyun: Je dirais aux membres qu’enfin j’ai eu de la chance. Si je gagne beaucoup d’argent je voudrais leurs donner à chacun 300 millions (250 700 €)
On2min: OH~
Key: Vraiment >
Taemin: Pourquoi est ce que nous parlons encore, et notre image alors??
Minho: Je pense que je vous donnerais un peu d’argent si j’en gagne, mais je n'achète pas les tickets de loterie hahaha
Jonghyun: Si tu n’en achète pas tu ne pourra même pas gagner hahaha
Cr anglais: @Joeychensw
Cr espagnol: onew peru
cr image : @Joeychenws | 0923_1214_ | SHINee__oOoO
Traduction: #Moonki
Correction: #Tokkish
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Hot(te) and cold
Let’s enjoy this instant in English, shall we?
VERSION FRANÇAISE, À L’AISE !
Afin de compléter le dernier Instant de Shasha et sur une idée d’une amie qui se reconnaîtra, j'ai décidé de vous raconter dans celui-ci comment se passe habituellement la période de Noël chez moi.
L'ouverture de la période de la fin d’année se fait toujours de la même manière : ma belle-mère envoie un message nous demandant de lui fournir une liste des cadeaux que nous souhaiterions nous voir offrir à Noël.
Le brainstorming commence alors. Enfin surtout pour moi, car du côté de mon mari, on a plutôt droit à une série de soupirs désespérés accompagnés de « Mais je ne sais pas, moi ! ». Et ça dure longtemps comme ça…(ça se compte en jours). Généralement, j'arrive assez rapidement à élaborer ma liste de cadeaux, du coup, ma mission suivante est d'en obtenir une de la part de ce cher monsieur. J'ai chaque année l'impression de devoir livrer une bataille épique digne des plus grands blockbusters américains pour pouvoir obtenir un semblant de début de liste de sa part.
Dans le même temps, je me creuse la tête à trouver des idées de cadeaux à offrir à ma mère et ma sœur, mais heureusement, elles me viennent habituellement assez vite.
Je m'attaque ensuite à la décoration de Noël de notre chez-nous. C'est toujours un moment doux-amer depuis 2 ans : nous utilisons les décorations que nous a laissées la grand-mère maternelle de mon mari. Cela me rappelle que désormais, nous fêtons Noël sans elle. Mais je me dis qu’à travers ces décorations, elle est en quelque sorte avec nous durant cette période. Et quand j'ai fini de décorer, au final, ça me met du baume au cœur.
Retour du côté de mon mari. Ça avance lentement mais sûrement. Puis je lui suggère que nous achetions les cadeaux sur les listes des membres de sa famille. Et là se pose un autre problème : le décalage entre la décision et l'action/le résultat. C'est un peu comme en politique : on vote une loi mais ce n'est pas le jour-même qu’elle entre en application et donc encore moins que ses effets se font ressentir. Eh bien là, c’est un peu pareil. Oui, il est d'accord pour qu'on aille acheter/commande les cadeaux, oui on va le faire ce week-end. Et puis le week-end passe et rien du tout. Oui on va le faire le week-end prochain, le lundi matin arrive et toujours pas de cadeaux. Et c'est ainsi que vers le 20 décembre, je peux entendre un « Faut vraiment qu'on achète les cadeaux maintenant ! » d'un air mi-agacé mi-désespéré, généralement accompagné d'un « Tu crois qu'on va tout trouver ? » inquiet. Dans ces moments-là, j'ai juste envie d'hurler mais je me retiens, c’est mauvais pour les nerfs. Alors on y va enfin, on fait une sortie spécialement pour trouver les cadeaux, et on oscille entre joie et soulagement de trouver certains éléments des listes et déception et panique de ne pas trouver les autres (mais ça passe vite vu qu'on sait qu'Amazon nous sauvera normalement la mise). Il faut parfois ajouter à cela la perte de patience quand il faut improviser et trouver un cadeau pour ceux qui n'ont pas fait de liste.
23 décembre, normalement, c'est bon, on a tout, alléluia ! Commence alors une autre épreuve : l'emballage des cadeaux. Les arts manuels, ça n'a jamais été mon truc ni celui de mon mari. Alors on fait ça comme on peut, c’est-à-dire mal même si on s'applique et qu'on y met tout notre cœur (enfin pour les premiers surtout, parce que mon homme trouve très rapidement cette tâche très ingrate et l'esprit de Noël a totalement disparu de son être à ce moment-là). Monsieur met le papier, moi je scotche. Et j'ajoute la seule touche qu'on trouve correcte au final : les prénoms des destinataires des cadeaux que j’écris à la main (il paraît que je fais ça assez joliment).
Arrive le 24 décembre, et on passe la journée et/ou la soirée avec ma maman et ma petite sœur. Puis c'est le fameux jour, le 25 décembre, et on se retrouve à l'heure du déjeuner chez mes beaux-parents avec ma belle-sœur, son mari, la tante de mon mari et sa sœur et éventuellement leur grand-mère paternelle. Il y a toujours un passage à vide dans ma tête, un moment de désespoir profond lorsque mon mari et moi déposons les cadeaux que nous avons apportés au pied du sapin avec les autres. Parce que je me rends compte à quel point on est vraiment des nullités en termes d'emballage de cadeaux. C'est complexant sur le moment, vraiment. Mais après je me dis que ce qui compte c'est l'intention et ce qu'il y a dedans et je me sens mieux. Et la journée se déroule tranquillement et joyeusement (enfin sauf quand je suis malade comme l’année dernière…). On est ravis d'avoir reçu de chouettes cadeaux mais surtout d'avoir passé une belle journée ensemble.
Auparavant, il y avait un dernier moment de célébration le 26 décembre chez la grand-mère maternelle de mon mari (c’était le 24 dans ma famille, le 25 chez mes beaux-parents et le 26 chez Mamy). Cela ne se fera plus puisque l'appartement est en vente. Je serai donc certainement un peu triste ce 26 décembre, mais ça ira, peu importe les galères, à l’arrivée, Noël reste un moment de joie.
ENGLISH VERSION HERE, MY DEAR!
In order to complete the last Instant de Shasha and following an idea given by a friend, I’ve decided to tell you in this one about how the Christmas period usually goes here.
The end-of-the-year season always starts the same way: my mother-in-law sends us an email asking us to give her a list with the presents we would like to receive for Christmas.
So, the brainstorming starts. Well, it actually really starts for me, because on my husband’s end, you usually get a series of desperate sighs together with loud “I don’t know!”. And this can last for a long time…(I’m talking days). I generally quite quickly set up my list, therefore, my next mission is to obtain one from my dearly beloved. Every year I have the feeling that I have to fight like in one of those epic battles you see in American blockbuster movies, so I can eventually get something like the mere beginning of a list from him.
In the meantime, I think about gift ideas for my mother and sister but hopefully, they come quite quickly to my mind.
Then, I dedicate myself to Christmas decorating our home. It’s been a bittersweet moment for the last two years: we use the decorations my husband’s late grandma left us. So, they do remind me that we now celebrate Christmas without her. But I tell myself that somehow, through those decorations, she’s still with us during this period. And when I’m done with setting everything up, it eventually warms my heart.
Back to my husband. Things are on their way, they move on slowly, but they’re on their way. Then, I suggest we buy the presents from his family members’ lists we were given already. And that’s when we face another issue: the interval between taking a decision and acting on it/its results. It’s a bit like in politics: a law passes but it won’t be implemented the same day, and you won’t get any effects from it before a long time. Well, things happen quite the same way for us. Yes, he agrees we go buying/order the presents, yes, we’re going to do it this weekend. And then the weekend flies away and nothing. Yes, we’re going to do this next weekend. Monday morning arrives, still no presents bought. And that’s how time goes by until around December 20, and then, I can hear some “We really must get those presents, now!” said in a half-annoyed half-desperate tone, usually followed by a worried “Do you think we’ll find them all?”. In those moments, I just want to scream out loud until the gods above can hear me, but I restrain myself, I know it’s bad for my health. And finally, we’re doing it, we go out specially to buy the presents and we navigate between happiness and relief from finding some of them and disappointment and panic from not finding the others (but we move on quickly because we know that Amazon will normally save our day). Sometimes, there’s also some patience loss when we must improvise and find a gift for those who didn’t give us any list.
December 23. Everything’s good, we normally got all the presents, hallelujah! Then begins a new trial: wrapping the gifts. Crafting has never been my thing, nor my husband’s. So, we try to do the best we can, which means we’re doing bad even though we really try our hardest and we pour all our heart into it (well into the first wrapped presents, actually, because my man very soon finds this task extremely annoying and Christmas spirit just leaves him completely, I can assure you). Mr wraps the paper around the presents, I stick everything in place with tape. And then I add the only thing we find okay in the end: handwritten names of the recipients (seems like I have a quite good-looking handwriting).
December 24. We spend the day and/or the evening with my mother and little sister. Then comes the greatest day, December 25, and we gather for lunch at my in-laws’ place with my sister-in-law, her husband, my husband's and his sister’s aunt and maybe their paternal grandmother. There’s always this one moment I have to go through when I feel deeply desperate, it’s when we put the presents next to the others. Because that’s when I realise how bad we are at wrapping presents. I feel very hung up about my lack of skills. But a few seconds after I tell myself that what matters the most is trying to do my best and what’s underneath the paper and then I feel better. The day goes by nicely (apart from when I’m sick all day like last year…). We’re all happy we received nice gifts but even more that we spent a nice day all together.
The years before, there used to be a last celebrating moment on December 26 at my husband’s maternal grandmother’s place (it used to be December 24 with my family, December 25 with my in-laws and December 26 with Grandma). This won’t happen again because her apartment is now on sale. So, I will surely feel a bit sad this December 26, but I’ll be okay, because whatever the hell we go through, in the end, Christmas remains a moment of happiness.
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L’autocensure excessive
Je remarque depuis un temps qu'un mal frappe les internets et tout un tas d'autres médias. Ce mal est provoqué par une foule de personnes premier degrés qui ont décidé de s'insurger de tout... et n'importe quoi. Qui ont décidé de s'arrêter à ce que leur dictent leurs yeux et non pas à ce que pourrait comprendre leur cerveau. D'ailleurs pourquoi se servir de sa tête... Comme dirait l'autre « j'vois pas sur les côtés j'vais tout droit »*.
Ce mal c'est l'autocensure, particulièrement l’autocensure de plus en plus excessive due à un plus grand nombre de trolls et de rageux se pensant libres de tout dire quand ils sont pas contents. Nombre de youtubers et même professionnels passant à la radio ou à la télé s’empêchent désormais l'utilisation de certaines tournure de phrases, certains mots... parce qu'ils anticipent -intelligemment- la réactions de personnes qui ne désirent pas arrondir les angles. Je me demande au fond si les personnes qui s'insurgent en interprétant mal certains propos, sont les mêmes qui hurlent contre l'utilisation des clichés par les médias/commerces/entreprises, ou si ce sont plutôt ceux qui, se laissant berner par ces mêmes médias/commerces/entreprises, foncent dans les magasins le jour de la journée des droits de la femme parce qu'on leur promet une culotte offerte pour 2 achetées. Je ne sais pas.
Lorsque les personnes publiques ne s'empêchent pas de dire ce qu'ils pensent, ils s'excusent cependant immédiatement -avant même qu’on ai dit quoi que ce soit- et expliquent leurs dires. Pour s'éviter une foule de commentaire haineux et irréfléchis. Et c'est tout à leur honneur, mais moi je trouve ça triste d'en arriver là.
« […] par conséquent, c'est quand même quelque chose qui doit être considéré comme indispensable au diagnostic […] alors j'ai dis diagnostic, et je me reprends immédiatement, et là je ne peux pas me gifler à la radio mais je l'aurais fait volontiers... » Gabriel Wahl. (2017). [Émission radio Grand bien vous fasse]. Comment identifier les enfants surdoués ? https://www.franceinter.fr/emissions/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-24-mai-2017
Attention, je n'agresse personne en disant tout ça. Je fais juste part d'une réflexion qui me travaille en ce moment.
Vous voyez, moi même je me sens obligée de faire de l'autocensure en m'excusant, alors que j'ai déjà réussis à passer le cap d'écrire cet article.
Je sais ce que ressentent ceux qui s'autocensurent, tout comme je sais ce que ressentent les gens qui se sentent insultés facilement. Je bouillonne à chaque fois que les pubs ou mêmes les simples clients d'enseignes se limitent aux couleurs rose et bleu lorsqu'ils doivent acheter un cadeau pour une fille/femme ou un garçon/homme. Pourtant je vois bien que ça ne touche pas autant les gens autour de moi. Pour en revenir à la journée des droits de la femme, je me suis énervée devant les clichés que certains faisaient ressortir pour ameuter du monde dans leur boutique. Alors que là aussi, autour de moi les gens n'étaient pas choqués. Donc je comprends que beaucoup de choses nous touchent. Mais... lorsque je regarde volontairement une vidéo sur youtube, d'un vidéaste critique de chaîne un p'tit peu bordeline, je ne lui en voudrais pas d'avoir un humour noir et gras, de chercher à faire réagir par ses propos si je vois que le fond vise surtout à faire évoluer les mentalités. Et je relativiserais parce que il y a le fond, et la forme... et ça, c'est ce qui fait la différence entre s'arrêter à ce que l'on voit, et pousser la réflexion plus loin.
« ceci est une blague, de mauvais goût peut-être, mais une blague quand même » Anthox Colaboy -Mes Chers Non Abonnements #33 Luxure et Domination (9.31 min)
J'ai déjà eu des débats houleux sur l'utilisation du mot surdoués, et ce débat est bien connu dans le monde de la recherche sur l'intelligence. Doit-on ou non utiliser un mot porteur d'interprétations négatives, de clichés et d'idées reçues ? Ce débat m'agace au fond... parce que le mot que beaucoup de hauts potentiels/surdoués/hauts Q.I. /etc... ont décidé d'utiliser, c'est le mot Zèbre, instauré par Jeanne Siaud Facchin. Je l'expliquerai pas ici puisque ça fera l'objet d'une vidéo, mais... pour éviter tout amalgame et interprétation bête dû à un manque de réflexion ou d'explication, on remplace un mot qui nous représente plus ou moins précisément, par un... que personne ne peut interpréter sans une explication. Dans ce cas, pourquoi ne pas assumer le mot surdoué, mais l'expliquer pour qu'il ne soit plus mal interprété ? C'est pour ça que j'ai voulu lancer cette chaîne youtube... qu'on arrête avec les interprétations douteuses, et qu'en même temps on ne se sente pas obligé d'utiliser un mot neutre qui n'a au fond pas de lien avec le sujet. Pour cela que je dis les surdoués. Parce qu’au fond, alors que j'aime beaucoup suivre l’étymologie d'un mot, lorsque l'on parle d'un sujet flou comme l'intelligence, je me dis que tant que l'on comprend les tenants et les aboutissants de tout ceci, le mot n'est plus si important. Combien de fois, en tant que bon français, dites vous « putain » « merde » ou « chiotte » ? heureusement qu'on ne le prend pas au premier degrés, ce serait peu compréhensible. Ces mots veulent dire quelque chose de précis à la base, mais nous sommes clément car désormais on sait qu'ils veulent aussi exprimer quelque chose de plus général. Un sentiment. Ils veulent tout et rien dire... Vous avez l'impression que je m'égare ? Non, pas tant...
La liberté d'expression, les « je suis Charlie »... c'est quelque chose que beaucoup ont scandés mais qu'au fond, à la première phrase de traviole, tout le monde oublie. Moi aussi, sûrement. Sauf que la liberté d'expression je n'y crois pas. Premièrement : je suis quelqu'un de franc, trop. Et quand je vois le mal que ça fait autour de moi parfois, je ne me sens pas libre. Sans une forme d'autocensure parce que souvent on me comprend mal, sans ce remaniement de phrase dans ma tête en permanence, je pense que je finirai mal. Sauf que c'est souvent pire. Mon cerveau doit penser à trop de choses en même temps pour à la fois être honnête et pas blessant, résultat : je m'embourbe. Deuxièmement : La liberté des uns s’arrête là ou commence celle des autres. Ce serait idiot de croire que l’on peut tout dire sans risque de représailles. Et quand je dis représailles, je parle aussi juste des bouderies de certains ou de l’éloignement d’autres. Et les extrêmes, vous les connaissez...
Le problème, c’est que ceux qui ont des trucs intelligent à dire en ont conscience. Mais pas les autres. Le déséquilibre est réel.
Certains très bons amis ont su traduire mes maladresses pour les comprendre tel qu'elles sont au fond : une attention maladroite. Et tout se passe bien.
Je ne demande pas au monde de s'adapter à tout ceux qui, comme moi, ont du mal à s'exprimer clairement, créant ainsi des confusions. Mais ce serait fort agréable si les haineux ou autres réac’ pouvaient éviter de cracher leur rage sur des artistes, parce qu'ils réagissent à chaud et sans réflexion. Un truc vous choque ? Prenez du recul 10 min avant de vous jeter sur votre clavier. Et demandez-vous si la personne à bien dit ce que vous avez compris. Et vous verrez que souvent, une seconde lecture éclaire sur les propos. Et si vous restez sur vos positions, alors oui, là, vous pouvez vous exprimer. C'était la réflexion du jour. Je vous fais librement de gros bisous ! Enjoy !
*Kriss de Minute Papillon
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Mauvaise engeance
Ch'uis un sale mec Une enflure notoire. Sous mes airs de pas y toucher, je touche à tout et je prends tout. Surtout le plus cher.
J'ai la tête du gars correct. Seulement si je le veux bien, Quand je le veux bien. Selon mon bon vouloir et si ch'uis de bon poil quoi!
Sous mon manteau reçu cadeau, Dans ma besace reçu idem, J'entasse des trucs. Des trucs qui m'appartiennent pas. C'est ce que j'préfère.
Ch'uis une racaille. Cultivé mais racaille quand même. De celle qui laisse des traces, Surtout des crasses.
Dans la rue, on me suit facile. Comme le petit Poucet sauf que la version que j'utilise c'est pas le petit cailloux mais la Gordon.
Suis un salaud de la pire espèce mais ça se voit pas sous mon vernis bien établi. J'te me la joue sourire aux lèvres et bienveillance en bandoulière mais derrière toi j'te nique sévère. Avec force et vulgarité si possible. Le plus possible.
J'admets jamais, Jamais j'admets. Ma religion me l'interdit.
Envers et contre tout, Quand bien même preuves à l'appui, Tu ne me fera pas dire ce que je n'ai pas dit... Quand je l'ai fait. Ou je l'ai fait.
Ch'uis une raclure. Si, si j't'assure. Tu crois en moi? Pauvre de toi, t'es vraiment con. C'est ma pensée la plus profonde à ton sujet.
Ch'uis pas né riche. D'amour j'entends. Vraiment, c'est triste. La note salée qui en découle, Est pas pour moi. Elle est pour tous.
Ch'uis grand. Très grand. Physiquement. Pas autrement.
Et toi minuscule petite chose, Tu ingères, Ingère donc les ptits sablés et autres fioles "eat me", "drink me" d'Alice mais sans merveilles.
Ch'uis parraîné par le diable. Mais rien de mystique. Même pas plastic. Le reste c'est toc. Sans m'excuser du peu.
Sur la longueur j'messouffle pas. C'est intrinsèque. T'y arriveras bien avant moi.
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